Photographie © Sonia Marques
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jeudi 15 avril 2021
✔ϴ¥ÅḠ∃ Ðℰ ℒ❝∃И✔Ї€
Par kiwaïda le jeudi 15 avril 2021, 00:26 - Paysage
Photographies © Sonia Marques
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Singe pose sur l'autre, ses mains de fourrure
Palmes vertes balancent dans le ciel céruléen
Soleil ambré décline
Outremer s'étale
Rivières de pêches puis lentement indigos
Éclats de rire lunaires sous le masque bonbon diamant
Pompons neige festifs
Collines d'arbres émeraudes
Dragons fuchsias et cocos auberginesBlancs cassés sous les ponts
Timides cascades dragées
Chat perché sur croisillons écarlates
Maisons de craies
Drapeaux tricoloresPoules grenades des villages
Coqs florentins acajousBéret bleu de France
Officiers de la poésie
Coquille d’œufHôtels mandarines
Paons mirifiquesEntendre la voix de l'eau
Jour crème tombe
Coucher fauve
Voix de l'autre
Levez-vous
Opalines
jeudi 8 avril 2021
✔ЇℰИℵ∃
Par kiwaïda le jeudi 8 avril 2021, 19:41 - Paysage












Photographies © Sonia Marques
jeudi 1 avril 2021
ẘε αяℯ ♭εα﹩☂
Par kiwaïda le jeudi 1 avril 2021, 00:33 - Art
Alice et le masque rapetissant
Alice et la vie appétissante
Photographies © Sonia Marques
mardi 23 mars 2021
ᾔαḯṧṧαη¢℮ṧ
Par kiwaïda le mardi 23 mars 2021, 20:51 - Animal
Photographies © Sonia Marques
lundi 22 mars 2021
Why ?
Par kiwaïda le lundi 22 mars 2021, 21:57 - Art








Pourquoi ?
Être artiste aujourd'hui
Ne pas se reconnaître dans aucun artiste représentant un parti politique ou un syndicat (c'est pareil)
Un besoin de couleur, il n'y en a plus
Voir la couleur, la contempler
Croiser des personnes qui tentent de voir ce que l'on voit
C'est cela être artiste
Voir ce que d'autres ne voient pas, plus
Mais est-ce toujours voir ?
Percevoir aussi, ressentir et exprimer ce que l'on ressent
Sentir, les odeurs d'un paysage participent du chemin
Impossible à voir sur un écran
La promenade, riche de sens
Alors n'importe qui peut être cet artiste
Un, une artiste, c'est n'importe qui, plutôt que n'importe quoi
Parler, se balader, la marche libère les esprits, les muscles, la respiration
La rencontre des personnes ou des animaux, rares, mais partout si on regarde bien
Les insectes partout, ces cris d'oiseaux qui correspondent : nous sommes chez eux
Ils nous regardent d'en haut, nous devenons de petits animaux qui marchent et parcourent les sentiers
Être artiste aujourd'hui et comprendre que beaucoup sont prisonniers
La santé mentale en difficulté
Toujours à se soumettre à son parti, ses petits diktats inventés en dehors des lois
ses petites hiérarchies et ses revendications, pelletons par pelletons
Les pauvres toujours, le social, les bons arguments, de vente
Les pauvres et les slogans par-dessus, le mal de vivre, la solitude, l'abandon, le manque de soutien, l'incompréhension,
Alors, alors, marcher,
Aussi souvent dans le froid et dans le soleil, la pluie, tout est accessible
Qu'est-ce que c'est que cette idée de la culture payante ?
Avoir son badge partout, son échelon spécial, son exposition, sa médaille et perdre de vue, tout ce qui faisait l'artiste
Un artiste n'a pas de liens avec ce qui se vend, car ils et elles partent à la recherche de ce qui existe,
tout simplement, ce qui existe, pour le révéler
Pourquoi cela ne se vend pas ?
Car on ne peut vendre la couleur d'un ciel gris changeant, ni l'amertume des lieux mouillés,
ni l'angoisse des sentiers pas battus, ni le bonheur des retrouvailles ni le rideau noir de la nuit sur des peaux rouges confites,
ni ce sourire au gré d'un dialogue à bâton rompus qui perce les secrets à jour et illumine les naïfs visages
pour mieux les encourager à se tanner, le cuir, le temps, les buissons qui rampent, pourquoi ils rampent ?
Le temps brûle les calories, la vitesse les emporte dans l'eau des canards,
Ces perles liquides qui glissent le long de ces plumages
Comme ces temps qui changent et ces modes qui glissent le long des artistes
Tout se brouille comme les œufs au virus
Le lendemain un autre virus
Les modes trépassent
Rien ne passe plus
Il ne se passe plus rien
La machine est bloquée
À jamais
Les artistes passent leur chemin
Ils regardent le temps changer
Demain cela ne sert à rien
Après-demain non plus
Ne plus se fier aux temps des humains
Rien ne les vaccine plus
Des petites feuilles au gré du temps
Comme ces petites natures
De temps en temps
Va-et-vient
Incertains
Authentiques
Il ne se passe plus rien
Sauf ce que l'on invente
S'apercevoir qu'il n'y a que des petites natures
Et pas une seule nature à quelque chose
Brindilles accrochées au rien au vent à la chute
Perchoirs et maisonnées
Immeubles cramponnés aux collines
Pylônes dépassés téléphones périmés
Moutons cahutes souterrains sous autoroute
Hélicoptère urgence vagues de voitures et débris de cris
Héler au fin fond des confins
Sans voir venir l'avenir
Dormir au moindre retour en arrière
Jouir à la moindre étincelle de vie
ᔕᖘᖇᓮᘉG
Par kiwaïda le lundi 22 mars 2021, 10:41 - Art







Photographs © Sonia Marques
Spring came so fast and yet it’s cold. Our scarves envelop us like infants. Daffodils laugh to see us so chilly. Yet, it’s spring !


© Sonia Marques
dimanche 7 mars 2021
ṔℛѺϟ☮ÐЇℰ
Par kiwaïda le dimanche 7 mars 2021, 00:29 - Art
Contre qui, ou bien, contre quoi, pour qui, comment, quand et pourquoi Pour retrouver le goût de vivre Le goût de l'eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles Et contre rien et contre personne, contre personne et contre rien, mais pour une rose entrouverte Pour l'accordéon qui soupire, et pour un souffle d'abandon et pour un jardin qui frissonne Et vivre, vivre passionnément, et de combattre seulement qu'avec les feux de la tendresse...
Pour qui, comment, quand et combien, contre qui, comment, et combien À en perdre le goût de vivre Le goût de l'eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles Mais pour rien, mais pour presque rien pour être avec vous et c'est bien Et pour une rose entr'ouverte Et pour une respiration, et pour un souffle d'abandon, et pour un jardin qui frissonne...
Rien avoir, mais passionnément, ne rien se dire éperdument, ne rien savoir avec ivresse Riche de la dépossession, n'avoir que sa vérité, posséder toutes les richesses Ne pas parler de poésie, ne pas parler de poésie, en écrasant les fleurs sauvages Et voir jouer la transparence au fond d'une cour au murs gris, où l'aube n'a jamais sa chance...
Contre qui, ou bien, contre quoi, pour qui, comment, quand et pourquoi Pour retrouver le goût de vivre Le goût de l'eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles Et contre rien et contre personne, contre personne et contre rien, mais pour une rose entrouverte Pour l'accordéon qui soupire, et pour un souffle d'abandon et pour un jardin qui frissonne Et vivre, vivre passionnément, et de combattre seulement qu'avec les feux de la tendresse...
Pour qui, combien, quand et pourquoi, contre qui, comment, contre quoi C'en est assez de vos violences D'où venez-vous, où allez-vous, qui êtes-vous, qui priez-vous Je vous prie de faire silence Pour qui, comment, quand et pourquoi, s'il faut absolument qu'on soit Contre quelqu'un ou quelque chose Je suis pour le soleil couchant, en haut des collines désertes Je suis pour les forêts profondes...
Pour qui, comment, quand et combien, contre qui, comment, et combien À en perdre le goût de vivre Le goût de l'eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles Mais pour rien, mais pour presque rien pour être avec vous et c'est bien Et pour une rose entr'ouverte Et pour une respiration, et pour un souffle d'abandon, et pour un jardin qui frissonne...
Pour qui, combien, quand et pourquoi, contre qui, comment, contre quoi C'en est assez de vos violences D'où venez-vous, où allez-vous, qui êtes-vous, qui priez-vous Je vous prie de faire silence Pour qui, comment, quand et pourquoi, s'il faut absolument qu'on soit Contre quelqu'un ou quelque chose Je suis pour le soleil couchant, en haut des collines désertes Je suis pour les forêts profondes...
Rien avoir, mais passionnément, ne rien se dire éperdument, ne rien savoir avec ivresse Riche de la dépossession, n'avoir que sa vérité, posséder toutes les richesses Ne pas parler de poésie, ne pas parler de poésie, en écrasant les fleurs sauvages Et voir jouer la transparence au fond d'une cour au murs gris, où l'aube n'a jamais sa chance...
Car un enfant qui pleure qu'il soit de n'importe où est un enfant qui pleure Car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt Que c'est abominable d'avoir à choisir entre deux innocences Que c'est abominable d'avoir pour ennemis, les rires de l'enfance...
Et, riche de dépossession, n'avoir que sa vérité, posséder toutes les richesses Ne plus parler de poésie, ne plus parler de poésie mais laisser vivre les fleurs sauvages Et faire jouer la transparence, au fond d'une cour aux murs gris Où l'aube aurait enfin sa chance...
Pour qui, comment, quand et combien, contre qui, comment, et combien À en perdre le goût de vivre Le goût de l'eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles Mais pour rien, mais pour presque rien pour être avec vous et c'est bien Et pour une rose entr'ouverte Et pour une respiration, et pour un souffle d'abandon, et pour un jardin qui frissonne...
Et vivre, vivre passionnément, et de combattre seulement qu'avec les feux de la tendresse
Photographies © Sonia Marques /// Texte (Barbara - "Perlimpinpin")
jeudi 4 mars 2021
ϟϴḺϴ FiℵѦℒ
Par kiwaïda le jeudi 4 mars 2021, 19:17 - Art
Photographies © Sonia Marques
Duo finaux
Soleil d'été en hiver
Coucher rose pastel
Piano solo final
dimanche 7 février 2021
ℳѦḠЇ☾
Par kiwaïda le dimanche 7 février 2021, 22:03 - Art











Photographies © Sonia Marques
mercredi 3 février 2021
ℊ♄◎ṧ☂ ☤η ⊥нℯ ṧ♄℮ʟʟ
Par kiwaïda le mercredi 3 février 2021, 00:22 - Art

Coquillage
Photographie © Sonia Marques
dimanche 27 décembre 2020
ḺЇℳϴḠ€$ ∃ℕИ€ℐḠÉ
Par kiwaïda le dimanche 27 décembre 2020, 10:00 - Paysage


De bons souvenirs, Limoges sous la neige, un février, en 2012. Mon appareil photo était un petit Sony, j'aime beaucoup le format de ces photographies, légèrement carré. Étonnée par cette neige tombée, j'ai arpenté la ville endormie. Cela faisait plus d'un an que je découvrais cette ville, peu d'image d'elle sous la neige, mais c'était comme si je retrouvais un esprit, de mon Canada, à Vancouver, mais aussi un peu d'esprit de neige exotique. Mes amis, qui ne connaissaient pas cette ville, avaient donc des vues enneigées de cette nouvelle ville. Mais, ce qu'il ne savaient pas, c'est que ces vues demeurent celles d'une journée, et ce sont des pures vues de mon esprit.
Au moment même où je fini d'écrire cet article et sélectionner mes photographies, j'entends craquer des gouttelettes de pluies sur ma vitre : ce ne sont pas des gouttes de pluies, mais de neige !
Photographies (© Sonia Marques - 2012)












Photographies (© Sonia Marques - 2012)
Ainsi cette carte postale ancienne, de ces paysages, me faisait penser à mes pures vues d'esprit... Peut-être il y a un siècle, une femme photographe, comme moi a pris ce cliché, devenu, un cliché sans auteur, ou d'auteur inconnu. Et en général, ce sont souvent des femmes qui sont inconnues, dont la notion d'auteure n'était pas connue du public, ni des élus...

Vue de l'esprit est une expression signifiant que l'on développe une vision théorique sans fondement véritablement concret.
Exemple : Pour certains, l'existence de Dieu n'est qu'une simple vue de l'esprit alors que d'autres sont convaincus de son existence.
vendredi 18 décembre 2020
Ṽ∀ℕ℃ϴṲṼ€ℝ
Par kiwaïda le vendredi 18 décembre 2020, 12:12 - Enseignement

I lived in a house like this in Vancouver, Canada...
Today I was thinking of Vancouver, Canada. I spent 6 months studying at Emily Carr University of Art + Design, on Vancouver Island, in 1997, selected by photographers and filmmakers. I came with my lover, also a student at the School of Fine Arts in Paris (l'École des beaux-arts de Paris). I had made an artistic dossier for him, his work and for myself, and I wrote a dialogue between our 2 very different artistic practices, so that we could be selected together. Each had chosen a different school, even very far from each other, for him, it was the university. I had made these artistic records in my parents' house, my mother had a computer, long before the others, it was rare, she was ahead of her time. We didn't need schools to make the models, I had already studied graphic arts at Masters level, I was doing quite well. We lived in a house, after having lived for 1 month in a youth hostel, the women on one side and the men on the other. I had never opened my large suitcase and I had met a Brazilian stripper, who spoke Portuguese, she was staying in one of the 6 women's beds in the compartment where I was. So many stories. I followed the courses of the photographer Sandra Semchuk (born in 1948), during these 6 months and we realized with the team of students, from divergent backgrounds, I made many friends, a very beautiful exhibition of photographs, in a gallery. I had made a panorama of 400 color photographs displayed on top of each other like a large mandala (the mandala represents a perfect universe full of precious objects, in the Hindu and Buddhist usually circular) exhibited by color, named "Vancouver lover". One of my photographs had been selected by the group and Sandra, for the invitation card of the group exhibition named "Story". It was an underwater view as I was swimming in the open blue pools of Vancouver. I loved the attention of this photographer, she taught me so much. In France, I never had a teacher photographer, but there was a photographer recognized in my jury of fine arts diploma (Valérie Jouve) who said this sentence: "Your work is so open that I am lost". It represented me well. In Vancouver, my photographic views went beyond the intimate and public setting, underwater, in the air, airplane views, views of a couple of artists working, sometimes naked, winter landscapes, summer, autumn, there was an intense love and a vision of the artist woman at work, in front of her camera and behind, in the landscape, as if, love was part of nature, the human nature. In total destitution. I pay tribute to this photographer, who loves genealogy, in search of her culture, migrations, cultural mixing, bisons and bears, I learned that she had received a prize 2 years ago. I rediscover her, she hasn't changed, her voice, her face.
I learned to photograph at a very young age with my father, who had a good quality camera, and my mother made Super 8 films. Long before I passed competitions to study in Parisian art schools, I practiced in the image, in a very natural way, adopting an open-minded, and without preconceived ideas, nor any culture of the history of the photographers. So I kept this strange freedom, which needs no artistic recognition, on the images produced. Because it's almost as a family that we approach the images, but without claiming authority. We did images, as we did cooking, it was a question of framing, technique, color and above all, for me, it was a real pleasure, which I have always kept. I thus had a good artistic record
Sandra Semchuk is second generation Canadian of Ukrainian and Polish ancestry. She has been a photographer for 40 years, and is a co-founder of the Photographers Gallery in Saskatoon, Saskatchewan, Canada and a teacher at Emily Carr University. When I met Sandra, my teacher, she was making an exhibition on her relationship with her father, she showed me her work and that impressed me a lot, because in France, this relationship is almost taboo, and no artist works on this subject. She wrote this :
My father suffered from a serious heart attack in July, 1988. In Coming to Death’s Door: A Daughter/Father Collaboration (a series of work which includes the piece entitled Death is a Natural Thing, Sweetheart, was shown at Presentation House Gallery, 199 ), he and I look together at the event, which led to my helping him escape from the hospital. In the photographic images I trace my own responses to my father and to his inevitable death. This investigation occurs within the simple experiences of moving from the tent where I slept separate from my father’s home, overlooking a lake in northern Saskatchewan, and of situating myself in his bedroom. I use the camera gesturally as a way sustaining the experience from the inside, and of leaving a trace as an outside observer. The broken image, like the broken self, hastens the processes of reconstruction and synthesis.
Bio : Sandra Semchuk is a Ukrainian Canadian photographer and video artist born in Meadow Lake, Saskatchewan. She was a co-founder of the Photographers Gallery artist run gallery in Saskatoon. Semchuk often works collaboratively using the familial, autobiography, and dialogue across generations, cultures and species. She worked collaboratively for fifteen years with her late husband, James Nicholas, Rock Cree actor and orator, to consider potential conciliations within the self and between the indigenous and non-indigenous. Their dialogue was grounded in experience–in the primary knowledges of place–land, flora and fauna and weather–and in human stories. The wider-than-human is the larger context. In her most recent 3D stereographic video poems she collaborates to resuscitate familial connections with the tree and forest. Semchuk’s book on the internment of Ukrainians in Canada: The Stories Were Not Told, Canada’s WW I Internment Camps will be published by the University of Alberta Press in 2018. This book brings together stories by internees and descendants with Semchuk’s photographs, cross cultural writing and historical documents. Semchuk has exhibited her work and collaborations at Presentation House, the Belkin, Vancouver and Comox Valley Art Galleries, British Columbia, the Photographers Gallery, the Mendel, Chapel, Mann, Godfrey Dean and McKenzie Art Galleries of Saskatchewan, Urban Shaman in Manitoba, the Canadian Museum of Contemporary Photography in Ottawa, the Center for Creative Photography, Arizona, the Museum of Modern Art, New York; the San Francisco Museum of Modern Art, fotofeis in Scotland and the Museu D’art Contemporani in Spain. Sandra teaches at Emily Carr University in Vancouver.
jeudi 15 octobre 2020
$ṲℜℝÉѦℒℐ$ℳ∃
Par kiwaïda le jeudi 15 octobre 2020, 03:15 - Art

Photographie de Nusch Eluard par Man Ray

Les Larmes, 1932 de Man Ray

Juliet par Man Ray (1946)
Merci pour le collier, le mien vient de Ourense, de Galice d'Espagne...
mercredi 19 août 2020
Ḻʊ@ ηø√α
Par kiwaïda le mercredi 19 août 2020, 22:07 - Art





Fotografías © Sónia Marquès, e poema...
ir onde tudo começa
passar uma camisa branca
de linho em Limoges
e nos encontrarmos
uma noite em Lisboa
duas cidades
duas mesmas letras
dois começos
levante-se uma manhã
e veja o Tejo
a luz branca
reconhecereis você
aérea é a silhueta
de uma cidade
memória branca
o tempo passa
renascido
lundi 17 août 2020
тê☂ℯ ℯη ʟ❝αїґ
Par kiwaïda le lundi 17 août 2020, 22:56 - Paysage





Photographies © Sonia Marques
mercredi 12 août 2020
ℬ∀)ℝѺℚÜ∃
Par kiwaïda le mercredi 12 août 2020, 01:13 - Art
Às vezes, não temos vontade de escrever e localizar, apenas as imagens de uma oração, do comboio sem máscara, de uma certa forma de liberdade.
Ser barroco, uma forma de ver a arte, presenças que nunca me deixam.
Fotografías © Sonia Marques
lundi 6 juillet 2020
ℵ☮ℝ♏Å
Par kiwaïda le lundi 6 juillet 2020, 00:58 - Paysage
Sublimes prises de vue !
dimanche 28 juin 2020
✔ѺЇẌ
Par kiwaïda le dimanche 28 juin 2020, 14:59 - Enseignement


A voté !
Photographies et masque © Sonia Marques

jeudi 25 juin 2020
ℙH◎⊥ℊґαρнiℯs
Par kiwaïda le jeudi 25 juin 2020, 22:31 - Art
Photographies © Sonia Marques
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