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dimanche 11 décembre 2022

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mardi 20 septembre 2022

F☺ℊ☺➸ḟá☂ʊ◎

Imagem do filme Fogo-Fátuo de João Pedro Rodrigues

Sinopse :
2069, ano talvez erótico – logo veremos – mas fatídico para um rei sem coroa. No seu leito de morte, uma canção antiga fá-lo rememorar árvores; um pinhal ardido e o tempo em que o desejo de ser bombeiro para libertar Portugal do flagelo dos incêndios, foi também o despontar de outro desejo. Então príncipe, Alfredo encontra Afonso. Com diferentes origens e diferentes cores de pele, encontram-se, socorrem-se e o léxico do abuso fica farrusco de desejo. Mas a exposição pública e as suas expectativas interpõem-se e Alfredo abraça um outro estado de prontidão para uma realidade improvável.

Musicas :
Paulo Bragança - Embuçado (author: João Ferreira-Rosa)
Joel Branco - Uma Árvore Um Amigo (author: Carlos Paião)
Der Zauberflöte (author: Wolfgang Amadeus Mozart, directed by Otto Klemperer)
Ermo - ctrl + C ctrl + V
Amália Rodrigues - Mané Chiné

Fantasia, filosofia, ecologia, cultura, alegria, loucura, erotismo, obras de arte, história da arte, bombeiros, fumo, corpo a corpo, tradições, fado, adorei este filme, que é oportuno! O cinema português é o mais contemporâneo e o mais inovador ! Branco e preto, que infinitas danças, socorros e cuidados, toda uma história de amor, sob as chamas dos acontecimentos atuais e das brasas históricas que nunca se extinguiram. Que surpresa inesperada de volta às aulas ! Não vi a proibição de menores de 16 anos, era a única mulher e a única espectadora, uma artista de olho afiado, humor nas partes masculinas. muitas alusões a tantos outros filmes portugueses que pude ver nos últimos anos, com prazer...

vendredi 12 août 2022

ℱεεʟ ƴ◎ʊґ ẘα¥

mardi 8 février 2022

฿☤ℨ@яґḯℯ ∂ї ♥@ґї℮ ƒḯℊʊґε

Et voici que je trouve des corrélations entre l'artiste allemand Oskar Schlemmer, étudié il y a quelques années, pour mes recherches, et l'artiste Giovanni Battista Bracelli, italien, lui, bien en amont ! Son recueil de gravures qu'il intitula Bizarrie di varie figure est étonnant et très beau.

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/ (Extrait encyclopédique)

BRACELLI GIOVANNI BATTISTA (1re moitié XVIIE s.)

On ignore tout de la vie de cet artiste florentin qui est devenu subitement célèbre vers 1930, quand nombre d'artistes de l'avant-garde découvrirent en lui un étonnant précurseur. Les quelques gravures que l'on connaît de lui situent son activité entre 1624 et 1649, principalement à Rome, semble-t-il. Mais seul son très curieux recueil qu'il intitula Bizarrie di varie figure mérite de retenir l'attention. Révélé par un article de L'Amateur d'estampes en 1928, il fut remarquablement analysé l'année suivante par sir Kenneth Clark dans le Print Collector's Quarterly. Ce recueil de cinquante estampes de petit format daté de 1624 comprend un titre, un frontispice, une dédicace, et quarante-sept gravures légèrement tracées à l'eau-forte, que Clark divise en trois groupes : « calembours » plastiques assez peu réussis (un port figurant un corps humain, un bateau composé de nus) ; une série de compositions humaines figurées par divers ustensiles assemblés (casseroles, raquettes) ; enfin, et le plus intéressant, des personnages réduits à des formes géométriques (sphères, cylindres, cubes) ou à des motifs divers, rubans, charpentes.
Clark voit avec raison dans ces inventions insolites l'application des recherches maniéristes dans le domaine de la « représentation figurée » — c'est-à-dire l'assimilation symbolique ou fantaisiste d'une image à un concept —, très à la mode depuis le milieu du XVIe siècle, dans un monde de plus en plus fasciné par les machineries. Il faut ajouter que Bracelli travaille à une époque où le grotesque, jusqu'alors simple élément du décor, devient de plus en plus humoristique parce qu'il est associé aux représentations triviales mises à la mode en Italie par les Carrache, et qu'il est utilisé pour exprimer le burlesque du théâtre italien. La correction du dessin de Bracelli, l'élégance même de certaines attitudes interdisent cependant d'y voir, sinon un divertissement, du moins une œuvre comique. Cependant certains « calembours », comme ce personnage qui aiguise un couteau sur son ventre figuré par une meule, ressortissent nettement à la comédie, mais d'autres, qui ne sont pas sans évoquer les personnages « métaphysiques » de Giorgio de Chirico, sont tout aussi bien inquiétants ou fantastiques.
Des recherches techniques du même ordre, mais qui n'ont pas la même portée, avaient été menées un peu avant dans l'atelier de Cambiaso à Gênes, mais Bracelli est beaucoup plus original. On comprend alors son succès auprès des surréalistes. Outre ce recueil, Bracelli n'a fait que quelques gravures sans grand intérêt, dont une suite de Figure con instrumenti musicali (1629). Il est cité comme peintre mais on ne connaît aucun tableau de lui. Il n'existe que neuf exemplaires répertoriés des Bizzarie, dont un seul (coll. Rosenwald) complet. Il a été publié en fac-similé par Alain Brieux en 1963 avec une préface de Tristan Tzara.

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Le Ballet triadique (Triadisches Ballett) l'œuvre chorégraphique expérimentale d'Oskar Schlemmer et Hannes Winkler... En 1937, Oskar Schlemmer fut diffamé, comme tant d'autres artistes et fiché par les nazis comme artistes dégénérés et interdit d'exercer. Son œuvre m'a beaucoup parlé et me parle toujours.

jeudi 9 septembre 2021

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Née en 1941, Sylvia Palacios Whitman a vécu dans le sud du Chili avant de s'installer à Santiago, où elle a étudié la peinture et la sculpture à l'Université du Chili. En 1961, Whitman s'installe à New York et s'intéresse rapidement à la danse et au théâtre. Elle s'est rapidement engagée dans l'art de la performance, travaillant avec un certain nombre d'artistes, dont Robert Whitman (né en 1935), qu'elle a épousé en 1968. En 1970, Whitman a joué avec Trisha Brown au Whitney Museum of American Art de New York et a rejoint La compagnie de danse de Brown trois ans plus tard. Entre 1974 et 1981, Whitman a mis en scène ses propres performances dans des lieux new-yorkais tels que Kitchen, Artists Space et Sonnabend Gallery. Ses pièces étaient généralement interprétées par des participants non formés et incorporaient régulièrement des accessoires trouvés et fabriqués, qui étaient souvent éphémères, souvent faits de papier ou de ficelle, et jetés après la performance. Dans South (1979), présenté au Solomon R. Guggenheim Museum, Whitman a animé une enveloppe surdimensionnée, portée par des artistes, et une baleine géante, qui faisait le tour de l'atrium du Guggenheim. Grâce à l'inclusion d'un portrait de mariage chilien, cette pièce, comme beaucoup d'autres, faisait à la fois des références claires et indirectes à l'éducation sud-américaine de l'artiste.
Parfois adaptées aux compositions du compositeur Steve Reich (né en 1936), les pièces de Whitman partagent un langage chorégraphique simple mais surréaliste. Les performances de l'artiste se sont développées parallèlement et ont été informées par une pratique de dessin active composée de croquis de carnets, qui détaillent les idées de performances, et de pièces autonomes de la fin des années 1970 et des années 1980. Ces œuvres pour la plupart à petite échelle comprennent une série de pièces figuratives qui explorent les espaces et les visages de son enfance au Chili ainsi que des dessins très travaillés avec des motifs géométriques irréguliers et des éléments figuratifs et collés occasionnels. Les dessins abstraits de Whitman font allusion à des préoccupations politiques, mais toute interprétation simple est obscurcie par son application répétée d'encre pour stylo à bille. Elle a renoncé à sa pratique artistique dans les années 1980 mais a récemment suscité un regain d'attention. En 2013-2014, ses premières performances, y compris des accessoires, de la documentation et des performances remises en scène, ont été présentées dans l'exposition Rituals of Rented Island: Object Theatre, Loft Performance, and the New Psychodrama Manhattan, 1970-1980 (2013) au Whitney Musée d'art américain, New York.
—Michael Nock




ℬḺÅℭḲ ℬϴ✝✝☮♏


Ann Pennington enseignant à Felix the Cat comment danser le « Black Bottom » (1927)

Originaire des Afro-Américains du Sud rural, le « Black Bottom » fait référence à une danse populaire des années 1920. Principalement interprétée par la star de Ziegfeld Follies, Ann Pennington (1893 - 1971), cette danse a été popularisée pour la première fois à New York par le spectacle afro-américain. Le Black Bottom est devenu à Broadway, un phénomène national, dépassant le Charleston en popularité.

La chanteuse et actrice Edith Wilson interprète la « Black Bottom Dance » dans la production théâtrale de Londres des "Blackbirds" de Lew Leslie, (1926)
Superbe robe, photographie et quel style !


 


jeudi 21 mai 2020

ḎÅℕϟ€

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mardi 8 mai 2018

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jeudi 13 décembre 2012

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