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mercredi 14 février 2024

V@ʟℯη⊥iη℮ ♥♥♥ ϟѦÐℰ


Sade Adu Le classique pour une valentine journée ! Paix et amour... Beauté !

dimanche 10 septembre 2023

ℒαяαηʝα



Laranja (2023) Photographie © Sonia Marques

vendredi 14 avril 2023

฿ℒṲ



Souvenirs de Blu, l'amoureux. Délicieusement, arrive en fond, une interprétation du Boléro de Ravel. C'est l'oreille musicienne qui l'écrit, c'est tout de même, montrer qu'il apprécie Ravel, sans même que l'on puisse l'entendre, juste l'imaginer, c'est sans la passion de Ravel, mais avec toute la marche, avec une élégance suggestive et précise d'un Sakamoto.

mercredi 4 janvier 2023

ℒεṧ i♏ÅḠℰϟ




À gauche, le cerf volant de l'artiste américain Tom Wesselmann (Blonde Kite), pour sa femme Claire, créé en 1988,
et, à droite une broche de Tom Wesselmann, en Bakélite, dans ma main...
(Photographies © Sonia Marques)
C'est un beau cadeau.
Et, ci-dessous, un dessin préparatoire de l'artiste (Tom) de son cerf-volant nommé "Blonde Kite" (sur carte postale)


(●♡∀♡)  (♥ω♥*)

⊆♥_㇁♥⊇    (●♡∀♡))ヾ☆*。




© Peinture de Tom Wesselmann, année 70 (Claire naked)



Des photos de Tom Wesselmann avec sa famille et ses tableaux, ou dans son atelier, avec sa femme Claire Wesselmann...

(´・` )♡    ლ(́◉◞౪◟◉‵ლ)

◟(◔ั₀◔ั )◞ ༘♡     φ(゚ ω゚//)♡


Tom Wesselmann (1931-2004)


Peintre américain aujourd’hui considéré comme l’une des figures majeures du Pop Art américain, il appartient à la première génération du mouvement Pop Art dans laquelle il occupe une place bien à part avec une imagerie provocante, mais qui échappe subtilement à la vulgarité. C’est avant tout séduction, plaisir et sensualité qui se dégagent des nus de Wesselmann, qu’il puise son inspiration dans l’iconographie de l’imagerie publicitaire et de la société de consommation ou dans la pure tradition de l’histoire de l’art. Après des études de psychologie puis d'art à Cincinnati, Wesselmann s'installe à New York où il intègre la Cooper Union. Comme bon nombre de ses confrères, il débute sa carrière dans le dessin animé, puis décide de se consacrer totalement à la peinture à la fin des années 1950. Dans les débuts de sa manière pop, il réalise des assemblages, notamment des collages qui reflètent comme beaucoup d'oeuvres de cette époque la vie quotidienne de la société de consommation américaine. Puis, il évolue et se met à intégrer dans ses oeuvres des éléments en relief ou des moulages en plastique tout en gardant la référence publicitaire en premier plan. Très rapidement, il s'oriente vers un thème spécifique qui deviendra sa marque personnelle. Dès 1961, il crée sa série des « Great American Nudes », des images peintes de femmes nues traitées en contours nets, représentatives de la silhouette féminine américaine, à l'allure dite « glamour ». Le tout sur un fond d'éléments types de la vie quotidienne. Ses papiers découpés font penser à ceux de Matisse réalisés à la fin de sa vie. Il va même jusqu'à intégrer des créations du maître moderne dans ses propres réalisations. Wesselmann possède une œuvre d’estampes prolifique. Tourné particulièrement vers le médium classique dans les années 1960 et les années 1970, c’est à partir de 1980 qu’il a commencé à s’intéresser sérieusement aux techniques d’estampe pour s’y consacrer de façon quasi-exclusive, que ce soit en œuvres lithographiques ou sérigraphiques. Souvent de taille très importante, les images pop de Wesselmann se prêtent naturellement à cette technique, ce qui permet des résultats brillants, frais et iconiques. Réintroduisant la figure dans son œuvre, l’artiste reprend les codes de la société de consommation et des publicités, mais en les détournant de leur fonction première. A l’instar de ses comparses Andy Warhol ou Roy Lichtenstein, Wesselmann révèle un regard ironique et critique sur le fonctionnement de la société consumériste contemporaine. Wesselman a participé à un nombre considérable d'expositions collectives, notamment celles consacrées au mouvement Pop Art aux Etats-Unis telle que « Pop goes East » en 1963 au Musée d'art contemporain de Houston ou encore la « Young America 1965 » au Whitney Museum et dans le monde entier, mais encore aucune rétrospective majeure ne lui a été consacrée en France. L'œuvre de Tom Wesselman se divise en deux séries majeures, les grands nus féminins et des natures mortes (Still life), des sujets d’étude très différents dessinés avec ou sans contour, et pourtant de ces images diverses et variantes, la singularité du trait et des couleurs est toujours sublimée et marque de façon évidente l’unicité d’un artiste résolument reconnaissable. Avec des Nudes, Wesselmann rend hommage à la tradition du « nu » en peinture via différents supports : dessins, « metal works » , sérigraphies…Dans cette farandole de nus, se distinguent notamment ses modèles favoris issus de sa célèbre série des « Great Amercian Nudes » commencée en 1961 – année de sa première exposition personnelle. Ses images peintes de femmes nues sont généralement traitées en contours très nets, le tout sur un fond d'éléments types de la vie quotidienne. Dès 1961 se succèdent des femmes prénommées Monica, Kate, Vivienne ou Judy, toutes représentatives de cette silhouette féminine américaine spécifique à l’allure dite « glamour ». D’abord représentées dans des poses alanguies et suggestives sur un fond publicitaire, ses modèles féminins vont s’assagir. En témoigne sa série en édition limitée intitulée « Monica sitting with Mondrian » où une jeune femme nue est représentée sur un fond reprenant le célèbre tableau de Mondrian « Composition en rouge, bleu et jaune » qui inspira également une collection au couturier Yves Saint-Laurent. Ce faisant, Wesselmann reste fidèle à une caractéristique du mouvement Pop Art, celle de se réapproprier des compositions célèbres pour les désacraliser d’une certaine manière. La dimension érotique est constamment présente dans ses nus aux formes planes et simplifiées. L’artiste met l’accent sur la bouche, les seins, les hanches et les cuisses à la façon d’images publicitaires. Ses modèles sont à la fois provocants et dépersonnalisées. Certaines silhouettes sont représentées le corps bronzé. Sur ce dernier se découpent alors des marques plus claires du bikini : les éléments anatomiques sont mis en évidence et contrastent avec les traits du visage presque absents hormis les lèvres.

dimanche 11 décembre 2022

✝☺υ☂ ﹩❝éḉłαḯґ℮ ⓠüαη∂ ☂υ εṧ ℓà

lundi 10 février 2020

αღ◎υя





Je suis resté.e très japonais.e <3

mardi 15 août 2017

ℳℰℜ

A Scene at the Sea > film japonais réalisé par Takeshi Kitano, - 1991.

Avec Kurudo Maki (Shigeru) , Hiroko Oshima (Takako)
Le genre Yakusa, une trajectoire singulière qui s'évade d'un clan.
Le schéma clanique : Dans le film, le personnage s'émancipe du clan des surfers.
Les clans sont déceptifs, ils suscitent de la déception, les personnages de Kitano font l'expérience de cette déception, ils ne s'y retrouvent pas et s'en écartent. Des communautés à la marge qui sont au centre et deviennent mafieuses.
Film tendre où le lien se crée devant la mer, un amour pur et bouleversant, sans presque aucun contact physique. Le couple sourd muet, communique parfois en langage des signes. Ce couple chaste est fusionnel, dans une bulle contemplative.
Détermination malgré les épreuves. Lorsque Shigeru et Takako sont séparés, car le chauffeur du bus ne veut pas de planche de surf dans son véhicule, Takako reste debout dans le bus, elle se soumet à cette attente face à la vitre, elle soutient son amant, elle croit en lui, tandis que Shigeru à pied, sa planche sous le bras va faire le trajet, sans perdre confiance en cet amour qui les lie malgré la distance. Cette séparation impossible rend la scène et le lien très fort lorsqu'ils se retrouvent. Aussi lorsque la mer les sépare, Takako reprend la planche de surf.
Ils n'utilisent pas le langage, ces héros du film m'ont fait penser au film de Ozu, où le petit garçon décide de ne plus parler à ses parents, à la suite de l'interdiction de regarder la télévision. Cette non violence, où le refus devient une invention par l'absence de communication, un art pacifiste, une interruption source de créations, de nouveaux gestes et déplacements. Élégance, sensibilité, finesse des échanges de regards, des sentiments mutiques. Kitano est peintre, avec de l'autodérision, le comique et la contemplation sont des nuances dans un paysage maritime frontal, une scène, où nous sommes aussi ces personnages qui rentrent dans l'eau ou comme les poissons, sautillent de cet élément océanique.
La précarité n'est pas un obstacle, elle fait l'histoire et déjoue les rumeurs des clans de petites communautés idiotes et sans imaginaire, lorsque l'amour soutient chaque étape. Contre l'ennui, source de créativité, d'invention, la trouvaille d'un éboueur de la planche cassée, va réparer le lien avec la mer et l'engager dans une voix singulière, comme celle d'un artiste qui invente quotidiennement sa profession, remettre l'ouvrage sur le métier. La place de la femme, l'assistante, l'amoureuse, devient le guide du chemin initié par la découverte et l'ambition de l'amoureux recycleur des déchets. Comment rendre beau ce qui était rejeté, destiné aux ordures et à la saleté.

jeudi 30 juin 2016

ḟґ◎ℨ℮η ł☺♥ℯ

Sur le tournage du film L'effet aquatique, de Sólveig Anspach (2016), photographié par Isabelle Razavet

J'avais récemment écrit succinctement, sur les films de Sólveig Anspach, disparue l'été 2015, après avoir gagné une rémission et des sursis de son cancer. Ses films sont finement brodés de ces aventures de la vie et des essentiels. Le dernier film actuellement sur les écrans, "L'effet aquatique", me laisse sur la fin.

Samir, la quarantaine dégingandée, grutier à Montreuil, tombe raide dingue d’Agathe. Comme elle est maître-nageuse à la piscine Maurice Thorez, il décide, pour s’en approcher, de prendre des leçons de natation avec elle, alors qu’il sait parfaitement nager. Son mensonge ne tient pas trois leçons – or Agathe déteste les menteurs ! Elle s’envole pour l’Islande où se tient le 10ème Congrès International des Maîtres-Nageurs. Samir n’a d’autre choix que de s’envoler à son tour...


Beau film, doux, dernière ligne bleue qui montre ce qui est difficile à montrer ou dire : le désir. Parce qu'il n'y a pas de déclaration d'amour, si ce n'est des silences et rencontres manquées, des mensonges et fuites, des retenues.
La puissance de l'oubli et du souvenir, dans ces moments de premières fois est amenée par un accident burlesque, une micro science-fiction de la prise électrique : un électrochoc (celui de l'amour impossible à dire)
La force du désir, la guérison par l'eau et l'utopie que l'élément liquide, une piscine, rassembleraient bien des territoires en conflit, parce que l'on ressort toujours, après une nage, paisible, je le crois aussi.
Apaisés, après ce film, comme après une nage en piscine.
Des plaisanteries hygiénistes en pays islandais, mais assez cruciaux. Ici, nous en sommes encore à laisser les nageurs et nageuses sans bonnets, sans douche préalable ni après… J'ai toujours trouvé cela étonnant, les autres n'existent pas.

><((((*゚< >゚*)))><

Nageuse, j'avais aimé connaître les piscines à Vancouver et ces douches similaires où tous les corps sont nus de tout âge, toutes corpulences, avec une saine camaraderie. "Vancouver lover" fut une installation artistique photographique exposée dans 2 galeries en 1997-98 à Vancouver, dont une partie des centaines de tirages de couleurs se passaient sous l'eau, dans des piscines découvertes au bord de la mer. Je me souvenais de cela et des teintes bleutées travaillées avec le ciel, agencées près des roses...

<・)))><<


Dans ce film, il y a des plans sous l'eau, avec un jeu sur la frontière (dessus-dessous) air-eau, lorsque débute la découverte de l'autre, puis la vapeur bleutée du Blue lagon islandais forme un rêve, celui de l'accès à l'amour.
J'ai lu que l'un de ses documentaires se nommait Vestmannaeyjar, du nom de l’île islandaise où elle est née, le 8 décembre 1960. Me reste à compléter ma lecture de son œuvre. Actrice et acteur dans ce film, Florence Loiret-Caille et Samir Guesmi, issus du précédent film Queens of Montreuil, ici dans les eaux, toujours entre Montreuil et l'Islande, sont deux antagonistes amoureux transis.

Ce sentiment d'affection tellement fort qu'il paralyse la personne qui l'éprouve, l'amour transi (frozen love, en anglais) est révélé dans ce film par le manque et la force romantique, tout quitter pour rejoindre l'autre, ou tenter d'apprendre à se souvenir de son désir, lorsqu'il échappe au temps, ou que la mort menace de le laisser à l'oubli.

Un médecin, dans le film, parle de l'eau, de l'effet aquatique, tout se qui est parti, revient toujours, quelque chose comme cela. Ici se joue la mémoire, comme dans le jeu de Memory (excellent jeu pour pour exercer et de développer sa mémoire, développé dans les années 50), un film posthume qui nous donne un signe de vitalité (ne m'oublie pas), dans lequel la réalisatrice Sólveig Anspach, s'insère actrice, avec ses grands yeux bleus.
Transparence.
Une transmission de la notion du bonheur avec un regard tendre, sur les corps, les visages, les paysages, le jaune et le bleu. Sólveig veut dire soleil en islandais. Malgré les tumultes traversés des personnages, affrontant leur peur, ils accèdent à l'amour, in fine.

Encore un palmier, celui du maillot de bain de Samir, acteur de 48 ans. La réalisatrice en révèle le corps et la démarche élégante qui ne semble pas toucher terre, juste la survoler, comme ses brasses sur un tabouret. Pas une seule fois, il n'est question dans ce film, de voir les crawls compétiteurs que nous connaissons bien. Mais le plaisir de voir la pointe des pieds sous l'eau, danser, vers un désir émergeant.


Costumes de Samir (costumière et décoratrice Marie Le Garrec de la réalisatrice Sólveig Anspach)

mercredi 11 juin 2014

αґт ◎ḟ ᾔ◎ḯṧ℮

Au Zénith (Photographie © Sonia Marques)

Aux cactus (Photographie © Sonia Marques)

A bRa kAdABrA (Photographie © Sonia Marques)

Sélection (Photographie © Sonia Marques)

Candidate (Photographie © Sonia Marques)

Jury (Photographie © Sonia Marques)

Championne (Photographie © Sonia Marques)

Dossier artistique (Photographie © Sonia Marques)

Magies (Photographies © Sonia Marques)

Tout est possible (Photographies © Sonia Marques)

  

L'étoile les yeux bandés (Photographies © Sonia Marques)

tourterelle.jpg

Invitées surprises (Photographie © Sonia Marques)