Charles Jencks AB ’61 BArch ’65 is a cultural theorist, landscape designer, and architecture historian. Among his many influential books are Meaning in Architecture (1969), The Language of Post-Modern Architecture (1977), Adhocism: The Case for Improvisation (with Nathan Silver, 1972), The Daydream Houses of Los Angeles (1978), Bizarre Architecture (1979), and The Architecture of the Jumping Universe (1997). He is also co-founder of the Maggie’s Cancer Care Centres, named for his late wife Maggie Keswick, and has written about this project in The Architecture of Hope (2015). Jencks has taught and lectured widely and served on numerous juries and selection committees; his work has been recognized with numerous awards and honorary degrees. As a landscape designer, Jencks has completed several projects in Scotland, including the Garden of Cosmic Speculation (2007) and Jupiter Artland (2010). In his lecture, he will speak about his ongoing project the Crawick Multiverse, about which he writes: The cosmos is almost the measure of all things and provides a referent and subject, a focus otherwise hard to find in present day society. With a few architects the patterns of nature and the architecture of the universe have partly reemerged as a shared meaning and iconography. At the same time the Multiverse has emerged on the agenda among scientists. Is this now a subject of thought and ultimate meaning? I have explored it in the architecture of the multiverse, an unfinished project. Where it leads, the imagination follows.
Superbe conférence de l'architecte Charles Jencks (2016) Sa "maison cosmique" londonienne de cet historien de l'architecture et théoricien a ouvert ses portes au public en tant que musée (il est décédé en 2019) à partir du 24 septembre 2021 (il y a quelques jours ! Réservation sur le site Internet : https://www.thecosmichouse.org/) Il était un écrivain, un critique et plus tard un paysagiste, qui a contribué à formuler les idées et la théorie autour du postmodernisme et, à travers ses livres, à rendre ces idées accessibles et universelles. Dans le quartier de holland park à Londres, Jencks et sa femme Maggie, artiste, ont acheté une villa victorienne en 1978. le couple a travaillé avec l'architecte Terry Farrell pour concevoir la maison cosmique qui présente des contributions et des collaborations avec d'autres architectes et des artistes tels que Michael Graves, Piers Gough, Eduardo Paolozzi et Allen Jones. À partir des années 1980, la propriété est devenue le foyer spirituel du design postmoderniste au Royaume-Uni et a régulièrement accueilli des conversations avec les principaux architectes et penseurs de l'époque. Enfant sa fille se souvient parcourir chaque recoin et voir son lapin domestique se cacher, tout comme elle, dans la maison conçue par son père et tous ses amis, un fada, fan des mathématiques et des trous noirs et des planètes et astrologies. La bibliothèque est incroyable, l'escalier digne d'une conception d'un phare, toutes les salles dédiées aux saisons, le dôme eau, complètement dingue, une architecture très provocatrice, polémique, ludique, hybride, avec tant de métissages et de culture, une pizza très garnie et complète, comme il aimait le dire. Charles Jencks Alexander a conçu des jardins inspirés de Wiliam Blake, peintre et poète britannique, établissant des relations entre le grand et le petit, la science et la spiritualité, ou encore l’univers et le paysage, ils sont spectaculaires, défiant les lois de la physique et de la nature.